Publié le 14 juin 2017 |
0Perturbateurs endocriniens, une évaluation bien empoisonnante (1/6)
Par Lucie Gillot.
Quand on les cherche, on les trouve… Dans les cosmétiques, les jouets, les emballages, l’alimentation et même les programmes politiques de la prochaine présidentielle. Longtemps discrets, les perturbateurs endocriniens ont fait une entrée en force sur la scène publique et médiatique, avec pour porte-drapeau le bisphénol A, ce composé utilisé dans les plastiques et les résines, et désormais interdit en France dans les contenants alimentaires.
Si la communauté scientifique s’accorde pour dire que les PE présentent un danger, en ce sens qu’ils peuvent potentiellement engendrer un effet néfaste, évaluer le risque lié à ces substances, c’est-à-dire la probabilité de survenue de cet effet, n’est toujours pas chose aisée.
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