Published on 20 septembre 2024 |
0[Forêts algériennes 2/3] Du nouveau dans l’écosystème ?
Précédent : “Forêts algériennes : le défi de la résilience”
Depuis quelques années, l’Algérie se trouve à un tournant décisif dans sa gestion des écosystèmes forestiers, passant d’une vision purement conservatrice à une approche dynamique axée sur la valorisation de ces précieux environnements. Deuxième partie du dossier [Forêts algériennes].
Par Salah Najah, agronome et agroéconomiste
Visuel : Des vaches se reposent dans la région d’El Kala (photo prise par un groupe de randonneurs)
Cette transition – d’une approche de conservation à une démarche de valorisation – reflète bien le fait que l’on comprend de mieux en mieux les avantages économiques, sociaux et environnementaux que peuvent offrir les forêts lorsqu’elles sont gérées de manière intégrée et durable.
Les pratiques agroforestières par exemple, apparaissent comme une solution prometteuse pour concilier production alimentaire, protection des sols et conservation des forêts. Les enquêtes menées auprès des experts et gestionnaires forestiers en Algérie les plébiscitent comme un système résilient, capable de contribuer à la sécurité alimentaire en maintenant le couvert végétal et en protégeant les bassins versants. Elles créent également des microclimats favorables à la biodiversité et permettent l’adaptation aux effets des changements climatiques – une préoccupation majeure pour les écosystèmes forestiers en Algérie.
Par ailleurs, la valorisation de ces écosystèmes forestiers suppose de réfléchir à l’implication des populations locales dans leur conservation active. Pour les experts, reconquérir les territoires arides grâce à des reboisements réalisés par des paysans offre à la fois des avantages écologiques et économiques : cela permet de revitaliser les zones dégradées et de créer des opportunités d’emplois locaux. Cette approche s’inscrit dans une logique de développement de l’éco-tourisme et de relance de l’économie rurale, deux aspects cruciaux dans la valorisation des écosystèmes forestiers en Algérie.
Cependant, cette transition vers une conservation dynamique n’est pas sans défis. En particulier, il manque des connaissances réplicables sur les pratiques des systèmes agroforestiers traditionnels . Il est nécessaire d’inventorier et de comprendre ces systèmes, d’en assurer le suivi et la surveillance pour garantir leur durabilité.
Mais la Direction Générale des Forêts (DGF) en Algérie montre une volonté affirmée de s’orienter vers ce nouveau modèle de gestion forestière. Les nouvelles techniques d’irrigation de précision, la télédétection pour optimiser la cartographie des écosystèmes, ainsi que la mobilisation des ressources en eau doivent être autant d’opportunités pour renforcer cette transition vers une conservation dynamique et intégrée des écosystèmes forestiers.
La valorisation enfin, représente un changement significatif dans la manière dont ces environnements sont perçus et gérés. En combinant l’agroforesterie avec une implication accrue des populations locales, l’Algérie veut innover dans la préservation et la valorisation des écosystèmes forestiers pour les générations futures.
Conservation dynamique et valorisation durable
Dans le contexte actuel – celui de la préservation des écosystèmes forestiers en Algérie – la valorisation durable des produits et services écosystémiques est à la fois un défi et une opportunité. Elle doit s’inscrire dans une dynamique de gestion responsable des ressources naturelles, respectant les impératifs écologiques et les besoins socio-économiques des populations locales.
Différentes études menées dans les écosystèmes forestiers algériens, y compris dans les espaces protégés, ont permis de cerner des points essentiels à prendre en compte pour une valorisation durable.
D’une part, les débats et confusions relatifs aux règles et aux limites des espaces protégés et des parcs révèlent qu’une réglementation claire et plus de concertation entre les différentes parties prenantes sont nécessaires – cela inclut les autorités des parcs et espaces protégés, la Direction Générale des Forêts et les riverains voire les bailleurs comme la FAO. Les concertations – menées par exemple lorsque sont établis les plans de gestion – devraient définir précisément ce qui est autorisé et ce qui ne l’est pas en termes d’exploitation des ressources naturelles, notamment pour la cueillette des Produits Aromatiques et Médicinaux (PAM).
Le tourisme, vecteur potentiel de développement économique, doit également être abordé. Face aux pressions croissantes sur l’environnement, l’idée d’un tourisme durable s’impose. De nombreux témoignages soulignent qu’une gestion environnementale efficace doit préserver la beauté naturelle des espaces forestiers tout en accueillant les visiteurs de manière responsable.
La valorisation des ressources naturelles offre un champ d’opportunités variées. Les produits de terroir représentent des chaînes de valeur locales qui peuvent être développées de manière durable.
Toutefois, les tensions et incompréhensions observées soulignent la nécessité d’un dialogue et d’une gouvernance multi-acteurs renforcés. Nos analyses de terrain conduisent ensuite à recommander d’encourager l’apiculture durable, et d’articuler le développement de l’écotourisme, les cultures de produits de terroir et des pratiques respectueuses de l’environnement, souvent ancestrales.
Vers une approche holistique
Enjeu stratégique, la valorisation durable des produits et services écosystémiques dans les forêts algériennes demande une approche holistique qui intègre les dimensions écologiques, économiques et sociales et donc un dialogue entre tous les acteurs.
Divers produits et services écosystémiques offrent des opportunités pour la valorisation durable. L’arboriculture, notamment la culture de diverses variétés d’olivier en fonction de l’altitude, le maraîchage et les Produits Aromatiques et Médicinaux (PAM) retiennent l’attention des organismes publics comme du secteur privé. La production de miel et la fabrication de ruches, ainsi que la culture de champignons, des activités traditionnelles, s’ajoutent à cette palette de valorisation.
La reproduction des variétés arboricoles locales dans des pépinières spécialisées offre également un potentiel de préservation de la biodiversité végétale. L’écotourisme se profile comme une option respectueuse de l’environnement, avec des initiatives de gîtes écologiques et des circuits écotouristiques valorisant les produits de terroir locaux, tels que la tomate rose du Djurjura, les cerises, les figues, le piment et l’olive.
L’exploitation du bois en Algérie
En Algérie, l’exploitation du bois est encadrée et organisée par la Direction Générale des Forêts (DGF) selon un cadre législatif et réglementaire spécifique (lire l’encadré en bas de page “La loi forestière n° 23-21 du 23 décembre 2023”)1. Les autorisations sont délivrées selon des plans d’aménagement forestier et de gestion durable des ressources. Ils précisent les coupes à réaliser, les périodes d’exploitation, et les méthodes à utiliser, équilibrant la récolte des bois avec la régénération des forêts.
La DGF surveille et contrôle les activités d’exploitation forestière en collaboration avec les commissions de wilaya (préfectures). Agents forestiers et gardes nationaux marquent les arbres et supervisent les travaux de coupe. La DGF organise les ventes de bois, souvent par le biais d’enchères, afin de garantir la transparence et de maximiser les revenus.
Réglementées, les activités d’exploitation doivent protéger les écosystèmes, conserver la biodiversité et prévenir la dégradation des sols. La réglementation impose également des mesures de protection pour les espèces végétales et animales non domestiques. Les acteurs locaux, y compris des coopératives et des micro-entreprises, y sont impliqués pour assurer une gestion participative et durable des forêts.
Les coupes de bois illégales
Elles s’opèrent généralement dans des endroits escarpés ou isolés. Le bois est ensuite revendu – ce qui est une seconde infraction – soit utilisé à des fins personnelles, ce qui peut engendrer des dégâts environnementaux conséquents.
Toutes les coupes destinées à l’usage domestique ou à la fabrication de charbon sont illicites et passibles de sanctions selon le Code forestier. Des estimations les chiffrent à plus de 1 million de stères par an en moyenne. Fabrication de pieux de clôture, de manches à outils ou de charbon de bois… La situation actuelle est alarmante du point de vue écologique, en particulier dans les régions arides. Elle l’est aussi du point de vue économique parce que certains besoins sont très difficiles à satisfaire, en raison de l’insuffisance et de l’irrégularité des sources de revenus. Enfin, elle est socialement préoccupante au regard de pratiques traditionnelles comme la préparation du thé ou la cuisson de certains aliments.
Les ressources forestières non ligneuses
Depuis quelques années, l’Algérie entre dans une phase stratégique pour exploiter de manière durable ses ressources forestières non ligneuses. La Direction Générale des Forêts (DGF) appuyée par divers bailleurs tels que la FAO, l’UICN, l’Union européenne (etc.), est à la tête de cette initiative. Le cadre légal en est établi par des lois régissant les usages forestiers et octroyant des autorisations locales (voir ci-dessus). Parmi les filières prioritaires figurent le liège, les plantes aromatiques et médicinales telles que le romarin, le lentisque (ou pistachier), le pin pignon, les caroubes, les figues de Barbarie, les câpres, et la production de plants d’essences forestières.
Ces filières se heurtent à plusieurs défis majeurs : des plans de gestion obsolètes, un manque de connaissances sur les produits et leurs marchés et peu de données fiables pour analyser les chaînes de valeur. Des actions ciblées sont nécessaires sur ces points, ainsi que le développement de partenariats public-privé pour une exploitation durable, et le renforcement des compétences locales.
Un programme d’appui
Le Projet d’Appui à la Compétitivité de la Petite Agriculture Paysanne (ACPP)2, a marqué une avancée significative pour le développement de filières forestières durables et permettant d’améliorer les ressources locales.
Concrètement, ce projet a renforcé la production d’huile d’olive de haute qualité à Aïn T’émouchent et Tlemcen, soutenu la filière laitière à Sétif, permis la mise en place d’unités apicoles. Il a valorisé des légumes locaux tels que l’oignon d’Oulhaça et soutenu des épices locales – la pistache, le pistachier lentisque, le câpre, l’amande amère et le safran. Il a aussi dynamisé l’artisanat avec des formations axées sur le design et la labellisation, et renforcé le tourisme rural en améliorant certaines infrastructures. Ces actions que guide une vision de durabilité et de qualité ont ouvert de nouvelles opportunités aux acteurs locaux avec un impact positif pour ces territoires ruraux en Algérie.
Vers une dynamique de labellisation ?
Pour amorcer la réflexion sur la labellisation des produits de terroir agricoles et de cueillette à proximité des écosystèmes forestiers, des espaces protégés et des parcs nationaux en Algérie, il est possible de s’inspirer d’expériences étrangères comme celles de la France. La labellisation d’un produit agricole – voir l’exemple du figuier à Beni Maouche (encadré ci-après) – peut être la clé pour valoriser la biodiversité locale. En effet, si la diversité est menacée lorsque les pratiques commerciales se concentrent sur une seule variété, inversement les variétés à forts potentiels économiques et nutritionnels seront menacées si la diversité disparaît.
La transposition du concept de la marque “Esprit Parc national”3 pourrait jouer un rôle déterminant dans la préservation environnementale et la revitalisation économique. Elle permettrait de valoriser des variétés moins adaptées au marché traditionnel avec des formulations innovantes pour répondre aux attentes des consommateurs tout en préservant la biodiversité. Elle serait une stratégie pour concilier conservation environnementale et dynamisation économique, en s’inspirant des succès et des écueils observés dans d’autres contextes, tels que celui des parcs naturels régionaux en France (voir l’article 3 /3- le parc national du Djurdjura).
Depuis 10 ans, le label Indication Géographique (IG) en Algérie a commencé à se développer, tandis que le label bio existe peu par rapport aux pays voisins comme la Tunisie et le Maroc. Les réglementations nationales sont encore incomplètes, il n’y a pas d’organismes certificateurs basés en Algérie et les coûts de certification et d’accréditation sont élevés. Le potentiel de développement de ces labels est immense.
Des Parcs nationaux pour les chercheurs
En Algérie les parcs nationaux sont devenus des partenaires incontournables du milieu scientifique, dans un réseau de collaboration bénéfique pour la préservation de la biodiversité, de l’environnement, et pour l’avancement des connaissances. Ces espaces protégés offrent un cadre idéal à des études variées, de la conservation des espèces endémiques à l’analyse des écosystèmes. La gestion durable des ressources naturelles, l’impact du changement climatique sur la faune et la flore, ainsi que la restauration des habitats dégradés sont particulièrement étudiés.
Ainsi, le parc national de Djurdjura collabore avec des chercheurs pour suivre les populations de singes magots et étudier leur comportement (article 3). Le parc national de l’Ahaggar accueille des études approfondies sur l’adaptation des espèces désertiques aux conditions extrêmes, et le parc national de Tassili n’Ajjer est le terrain privilégié des géologues et archéologues. Néanmoins, il reste à capitaliser sur ces travaux de recherche comme sur les expériences de développement. Un enjeu essentiel est de les partager sur des plateformes interactives accessibles au grand public. Actuellement, de nombreux travaux et données restent encore diffus et peu accessibles.
Ces partenariats, qui enrichissent à la fois la recherche académique et la gestion des parcs, démontrent l’importance vitale des synergies pour la protection de l’environnement en Algérie.
Lire la troisième partie du dossier
La valorisation de la biodiversité du figuier à Beni Maouche : une histoire de collaboration et d’innovation
En plein cœur de la Kabylie, dans la wilaya de Bejaïa, se niche la région de Beni Maouche, célèbre pour ses montagnes, ses forêts et le parc national de Gouraya. Ici, le figuier règne en maître – il occupe 80 % des terres cultivées. Parmi la trentaine de variétés de figues recensées, la figue sèche Taamriwt prédomine. Les autres variétés, non adaptées au séchage, posaient un défi de valorisation jusqu’à ce qu’un projet novateur prenne forme.
Une rencontre de volontés et de savoirs. Tout commence en 2003 avec la création de l’Association des figuiculteurs de la wilaya de Bejaïa. Face aux difficultés de commercialisation et aux pertes de qualité, les producteurs locaux cherchent des solutions. C’est là que l’association Biodiversité, Échanges et Diffusion d’Expériences (BEDE) entre en scène. Cette association française, basée à Montpellier et forte de membres de diverses nationalités, dont des Algériens, accompagne depuis 25 ans les petits producteurs du Maghreb, d’Afrique de l’Ouest, de France et d’ailleurs sur les chemins de l’agroécologie et du développement durable.
En 2007, l’association BEDE établit un partenariat avec les figuiculteurs de Beni Maouche. L’Association algérienne de Réflexion, d’Échanges et d’Action pour l’Environnement et le Développement (AREA-ED) rejoint alors l’initiative. Ensemble, ils créent les Laboratoires Hors Murs pour l’agrobiodiversité (LHM), unissant agriculteurs et chercheurs dans une aventure commune.
Une approche collaborative et innovante. Le processus démarre par l’identification des problèmes : pertes dues à l’altération de la qualité des figues et difficultés de commercialisation. Pour y remédier, des ateliers de transformation des figues et des formations sont organisés. Chercheurs et producteurs se rencontrent, puis les chercheurs et leurs étudiants se penchent sur les analyses biochimiques des produits dérivés de la figue, avec pour guide les questions des producteurs sur les qualités diététiques, nutritionnelles et la stabilité des produits.
En 2014, un atelier se tient encore à Beni Maouche pour renforcer ce dialogue avec la recherche et innover : confiture et mélasse de figue ou “robb” ouvrent de nouvelles perspectives pour la valorisation des variétés locales.
Le défi de la labellisation. La labellisation des produits dérivés de la figue apparaît comme une priorité pour garantir leur qualité et faciliter leur commercialisation. Les producteurs sollicitent un soutien pour mettre en place un label qualitatif et des stratégies de commercialisation. La standardisation devient alors un enjeu crucial pour assurer la pérennité de leurs efforts.
La collaboration entre les figuiculteurs de Beni Maouche, BEDE et AREA-ED a été fructueuse : nouvelles connaissances sur les variétés de figues, développement de produits innovants, améliioration de la dynamique locale grâce aux formations et ateliers. Cependant, les défis restent nombreux pour maintenir une collaboration régulière, trouver des financements, vulgariser les résultats de la recherche et résoudre les problèmes de conservation des produits transformés sans recourir à des solutions intensives.
Trois produits emblématiques. Depuis octobre 2014, dans le cadre des accords commerciaux entre l’Union européenne et l’Algérie, un ambitieux projet de 6 millions d’euros cherche à promouvoir la labellisation de produits agricoles locaux. Trois produits emblématiques ont été choisis pour tester ce projet : la datte Deglet-nour de Tolga, l’olive de table de Sig, et les figues sèches de Béni Maouche, dans la région de Béjaïa.
Des experts européens ont commencé un travail de formation auprès des techniciens et des agriculteurs locaux. Ce transfert de compétences vise à garantir la qualité et l’authenticité des produits tout en respectant les traditions et les pratiques locales. Les capacités techniques des producteurs se sont renforcées, mais le projet a également ouvert de nouvelles perspectives de marché pour ces produits de terroir, valorisant la richesse et la diversité de l’agriculture algérienne.
La loi forestière n° 23-21 du 23 décembre 2023
Cette loi toute récente introduit plusieurs nouveautés et renforce les lois précédentes. Elle met l’accent sur le développement durable et la lutte contre les changements climatiques, avec une approche holistique qui manquait auparavant.
Une stratégie nationale des forêts est désormais intégrée à la politique d’aménagement du territoire. Les plans d’aménagement forestier, les schémas de boisement et reboisement, ainsi que la protection des bassins versants y sont systématiquement inclus. De plus, la loi introduit des mécanismes de certification de la gestion durable des forêts et de traçabilité des produits forestiers.
La protection de la biodiversité et les mesures d’adaptation aux changements climatiques sont renforcées, ce qui est un progrès significatif. Des règles précises doivent permettre de gérer l’exploitation des nappes et des terres alfatières en garantissant leur protection. Le labour y est interdit.
La valorisation du domaine public forestier est clarifiée, avec des conditions d’exploitation des produits forestiers ligneux et non ligneux, des redevances, et des autorisations définies de manière plus précise. Les usages multiples des terres forestières, tels que les plantations, les cultures de plantes aromatiques, et l’aménagement récréatif, sont désormais autorisés et régulés.
La participation citoyenne et associative est encouragée à travers la formation d’associations et de groupements forestiers avec des conventions de partenariat. Les dispositions pénales sont renforcées, accordant des pouvoirs élargis aux officiers et agents de la police forestière, avec des procédures de saisie et de vente plus claires en cas d’infraction.
Enfin, la loi prévoit des mesures concrètes pour la réhabilitation et la restauration des forêts, comme la création de pépinières et des systèmes de suivi et d’évaluation.
En résumé, la loi forestière n° 23-21 offre un cadre plus rigoureux et plus complet pour la gestion des forêts en Algérie, intégrant des concepts modernes de durabilité, biodiversité, et de participation citoyenne.
Références bibliographiques
Boudedja K., 2012. La construction collective de territoire pour le développement économique et la préservation de l′environnement. In : Agro-ressources et écosystèmes, Christophe B., Pérez R. Eds., Presses universitaires du Septentrion, https://doi.org/10.4000/books.septentrion.9225
Bouhabila A., 2019. La forêt algérienne face au changement global. Quelle place pour l’agroforesterie ? Mémoire de Master en Sciences et Gestion de l’Environnement dans les Pays en Développement. Université de Liège, Département des Sciences et Gestion de l’Environnement et Université catholique de Louvain, Faculté des bioingénieurs.
Haichour S., Benabdeli K., 2022. L’écosystème forestier algérien face aux pressions anthropiques et climatiques, Geo-Eco-Trop, 46, 1: 109-124.
UICN, 2015. Renforcement des connaissances et du partenariat sur les zones clés pour la biodiversité en Algérie: cas du Parc National du Djurdjura. Rapport technique du projet UICN-Med/CEPF#62748# « Valorisation des zones clés pour la biodiversité en Afrique du Nord à travers l’implication des organisations de la société civile dans leur conservation et gestion ».
- Loi n°84-12 portant régime général des forêts, Décret exécutif n°01-87, Loi n°03-10 relative à la protection de l’environnement. La loi forestière n° 23-21 du 23 décembre 2023 est venue renforcer la réglementation.
- Un Programme d’Appui aux Projets de Développement Agricole Rural (PAP ENPARD) mené de 2016 à 2019 et financé par l’Union Européenne
- https://www.parcsnationaux.fr/fr/des-actions/la-marque-esprit-parc-national