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Published on 30 mars 2018 |

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Les échos #12-2018

Quand ce n’est pas le loup, c’est l’ours ! L’annonce par le ministre de l’Environnement du projet de réintroduction de deux ourses dans les Pyrénées-Atlantiques a remis de l’huile dans la mécanique de la polémique.

Au début du mois, la France avait été condamnée par la justice pour ne pas mettre assez d’entrain à protéger les ursidés pyrénéens. La Croix a tenté d’aider ses lecteurs à y voir clair en faisant de la question du plantigrade, sa question du jour pendant que la Dépêche du Midi a donné la parole à nombre d’acteurs. Si vous avez lâché l’affaire depuis un moment, vous pouvez vous mettre à jour avec le dernier rapport du réseau ours sur la population pyrénéenne. En milieu de semaine, (coïncidence ? je ne crois pas), on apprenait la disparition de Gogol, une des ours du blockbuster de Jean-Jacques Annaud.

On aura aussi beaucoup parlé de distribution cette semaine, et pas seulement à cause de l’examen du projet de loi accouché par les États généraux de l’alimentation (#egalim sur touiteur). Challenges s’est demandé quel distributeur tirerait son épingle du jeu avec la commercialisation des produits bio. Mais ce sont surtout les avancées d’Amazon vers le commerce alimentaire qui risquent de bousculer le paysage. Nous avons déjà rapidement évoqué cette question la semaine dernière et la signature d’un accord entre Casino et Amazon montre que le monde de la distribution va changer. Très vite. Sébastien Abis nous entretiendra de ce sujet dans le prochain numéro Sesame, mais en attendant, il décrypte les enjeux de ces accords. Reste à savoir si Amazon, versant dans l’alimentaire, muera en une « entreprise à mission » !

Pendant que nous apprenions que les agriculteurs étaient fans de Facebook quand ils se servent des réseaux sociaux, une autre nouvelle est venue détonner au milieu de nos certitudes gastronomiques. Le jambon-beurre a plié devant le burger ! Oui vous avez bien lu ! Pour la première fois en effet, il s’est vendu plus de burgers (1,4 milliard) l’an dernier que de sandwiches. Le grand remplacement est en marche grinceront les grincheux ! Avant que le burger envahisse les tables des gastros, comme c’est le cas aux USA, il est temps de se former aux accords burger-vin. Pour cela vous pouvez vous aider du guide préparé par VinePair qui recommande du pinot noir pour le cheeseburger et du champagne pour le cheeseburger réhaussé par une tranche de bacon.

Mais si vous souhaitez entrer en résistance, et puisque c’était la semaine du fromage, c’est le moment d’en apprendre plus sur la façon dont, sensoriellement, vins et fromages s’épaulent pour le plaisir de nos palais.

Bon week-end !

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